Re: Bad press again...tectol (Published today ) hope it make things clearer
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Jan 10, 2011 06:06PM
(Edit this message through the "fast facts" section)
The Minister of Natural Resources, Ms. Normandeau said that leaks of this kind exist naturally in our environment.
Photo: David Boily La Presse Archives
Press CanadienneMontréal
Leaks around gas wells and shale have nothing to worry for the Minister of Natural Resources, Normandeau, who describes them as "normal."
In an interview with The Associated Press, Mrs. Normandeau said that leaks of this kind exist naturally in our environment.
She asked the citizens and pressure groups to avoid being alarmist, since these leaks do not, in his opinion, no danger to health and safety of the population.
"These are normal leakage found in other wells elsewhere in other jurisdictions," she explains. Let's look at reality as it is. As Minister of Natural Resources, I conclude that there is no cause for alarm. "
It adds to completely trust the monitoring mechanisms in place. "With the inspection program, we will ensure a systematic and rigorous monitoring of all facilities that have been authorized to date to be as proactive as possible," she said.
Nathalie Normandeau the opportunity to blame the Parti Quebecois that "criticism very easy" and "rising to the barricades a little too fast," thereby helping to alarm people unnecessarily.
"In the current debate should be limited to the facts. Some leaks were found, but the report made, there is no concern for citizens, "she adds.
Mrs. Normandeau was back at work Monday morning, having avoided the storm caused last week by the unveiling of a report of the Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) stating that a majority of wells inspected in Quebec left escape of gas fumes.
Minister Normandeau said hearing the residents' request for a moratorium. But she says devote his energies to seek a compromise solution that would enable citizens to feel secure while responding to requests for permits for exploration submitted by the industry.
"There is not stubbornness from us," she wishes to specify. Rather, she sees the continuation of exploration activities as a very pragmatic way that allows the government and especially the industry to measure the viability of gas potential in Quebec.
"This is a must. We can not spend one day thinking in the operational phase without going through the exploration phase, "she says.
After the deposit of the BAPE report on shale gas scheduled for February 28, Mrs. Normandeau sees an opportunity to make itself the pilgrim's staff to get reassurance.
"But we want to do this in a context where the BAPE will shed new light on how to optimally regulate the gas industry in Quebec," she says.
Source La Presse
(10/01/2011) Les fuites aux abords des puits de gaz de schiste n'ont rien d'inquiétant pour la ministre des...
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201101/10/01-4358785-gaz-de-schiste-les-fuites-ninquietent-pas-la-ministre-normandeau.php
Publié le 10 janvier 2011 à 16h11 | Mis à jour à 16h11
Gaz de schiste: les fuites n'inquiètent pas la ministre Normandeau
La ministre des Ressources naturelles,Mme Normandeau indique que des fuites de ce genre existent à l'état naturel dans notre environnement.
Photo: David Boily, archives La Presse
La Presse CanadienneMontréal |
Les fuites aux abords des puits de gaz de schiste n'ont rien d'inquiétant pour la ministre des Ressources naturelles, Nathalie Normandeau, qui les qualifie de «normales».
En entrevue à La Presse Canadienne, Mme Normandeau indique que des fuites de ce genre existent à l'état naturel dans notre environnement.
Elle demande aux citoyens et aux groupes de pression d'éviter d'être alarmistes, puisque ces fuites ne représentent, à son avis, aucun danger pour la santé et la sécurité de la population.
«Ce sont des fuites normales qu'on trouve dans d'autres puits ailleurs dans d'autres juridictions, explique-t-elle. Regardons la réalité telle qu'elle est. En tant que ministre des Ressources naturelles, j'arrive à la conclusion qu'il n'y a pas lieu de s'alarmer.»
Elle ajoute faire totalement confiance aux mécanismes de surveillance en place. «Avec le programme d'inspection, on va assurer un suivi systématique et rigoureux de toutes les installations qui ont été autorisées à ce jour pour être le plus proactif possible», dit-elle.
Nathalie Normandeau en profite pour blâmer le Parti québécois qui a «la critique très facile» et «qui monte aux barricades un peu trop vite», contribuant du coup à alarmer inutilement la population.
«Dans le débat actuel, il faut se limiter aux faits. Il y a des fuites qui ont été constatées, mais sur la base du rapport effectué, il n'y a pas d'inquiétudes pour les citoyens», ajoute-t-elle.
Mme Normandeau était de retour au travail lundi matin, après avoir évité la tempête causée la semaine dernière par le dévoilement d'un rapport du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) indiquant qu'une majorité de puits inspectés au Québec laissaient échapper des émanations de gaz naturel.
La ministre Normandeau dit entendre la demande des citoyens en faveur d'un moratoire. Mais elle affirme consacrer ses énergies à chercher une solution mitoyenne qui permettrait aux citoyens d'être rassurés tout en répondant aux demandes de permis d'exploration soumises par l'industrie.
«Il n'y a pas d'entêtement de notre part», tient-elle à préciser. Elle voit plutôt la poursuite des activités d'exploration comme une voie très pragmatique qui permet notamment au gouvernement et à l'industrie de mesurer la viabilité du potentiel gazier au Québec.
«C'est un incontournable. On ne peut pas un jour penser passer en phase d'exploitation sans avoir passer par la phase d'exploration», soutient-elle.
Après le dépôt du rapport du BAPE sur les gaz de schiste prévu pour le 28 février, Mme Normandeau entrevoit la possibilité de prendre elle-même le bâton de pèlerin pour aller rassurer la population.
«Mais on souhaite faire ça dans un contexte où le BAPE aura apporté un nouvel éclairage sur la façon d'encadrer de manière optimale le secteur gazier au Québec», indique-t-elle.